Le spectacle vient de se finir.
L’envie de te revoir
me fait déjà souffrir.
Une belle surprise attend
ceux qui savent se montrer patients.
Des yeux étoilés,
un corps si beau dénudé, des lèvres de fée,
et surtout ton sourire
qui transperce mon coeur d’une flèche passionnée,
immaculée comme ange ailés,
petit allié qui bandent son arc pour les amoureux,
pour que de nous deux
nos yeux s’aimantent
et n’en finissent de plonger l’un dans l’autre.
Commençons notre histoire
par beaucoup d’amitié.
Un bon magicien
se change au bon moment
en un rêve ennivrant d’amour endiablé.
Unissant paradis et enfer
ta volupté dévoile à mes yeux
ce que peut vouloir un humain
pour être heureux.
Rien ne change sans décider un jour
de tourner la page,
de fermer le livre,
de le reposer sur la table de chevet,
de se retourner dans le lit
pour voir son ami,
amour, amant de la vie,
endormi.
Serre moi dans tes bras
et faisons l’amour
jusqu’à la fin de nos jours.
Cette nouvelle page commence
comme un mirage qui balance,
comme la musique d’où vient la trance,
comme l’essence de la vie
qui déborde d’énergie,
car l’on s’aime maintenant
depuis longtemps et pour toujours,
mon amour.
Impur, je me présente ici
à la croisé des chemins
où le choix des solutions
sont si souvent cachées,
si prêtes, qu’on ne voit
qu’un nuage de fumée.
Souffle et Dieu exaucera tes voeux.
Derrière les nuages,
le soleil resplandit
pour irradier ta vie.
Rien ne change
si l’on ne fait pas un pas l’un vers l’autre,
si l’on ne remplace pas les fausses images
qu’on se fait l’un de l’autre.
Tu crois ci, je vois ça,
tu penses à ça…
je ne vaux pas mieux que toi.
T’es rien. Je t’aime.
Dis-moi pourquoi,
sans cesser de harceler
ma pauvre âme esseulée,
Tu fais partie de ma vie,
alors que je ne t’ai jamais vu.
Dans ma réalité,
tu viens d’entrer,
tu secoues tout mon être.
Je ne peux pas jouer avec toi,
car tu saura reconnaître
la vérité qu’il y a au fond de mes yeux.
Soyons tous les deux amoureux.